© Nicolas Clauss

ART VIDEO ET NUMERIQUE INTERNATIONAL

 

Mercredi 20 février 2013, de 17h à 18h30
Institut français du Japon – Tokyo, Espace Images
Entrée gratuite

Réservations : 03-5206-2500 (Institut français du Japon – Tokyo)

– Les réservations se font sur la base du premier arrivé, premier servi. Une fois l’ensemble des places écoulé, aucune réservation ne sera acceptée.
– L’admission n’est plus possible une fois l’événement commencé.
– Le placement dans la salle est libre

Quelques aspects anciens ou contemporains de l’art vidéo et numériques international.

The Great Suds your Duds Robbery de Ira Schneider (USA, 1963) 3’30
A robbery in a laundromat.
Ira Schneider was born in 1939. He was a pioneer of video in the late 1960s and early 1970s. In his work with video installation and single-channel tapes, he explored the manipulation of time, interactivity and simultaneity as formal and conceptual devices.

Glucose de Mihai Grecu et Thibault Gleize (Roumanie/France, 2012) 7’18
A l’aide de l’animation 3D mélangée à la prise de vue réelle, “Glucose” refaçonne notre environnement quotidien. Le film dépeint un monde avec des distorsions physiques. La caméra devient le microscope d’un lent diaporama mental et elle saisit différentes aberrations de la perception.
Inspiré de la théorie quantique selon laquelle des particules peuvent se trouver à deux endroits en même temps, ce court-métrage anxiogène et humoristique à la fois donne naissance à de nouveaux types de relations entre les objets et leurs propres propriétés physiques.

(In) de Mikko Kallinen (Finlande, 2011) 6’56
(IN) virtual universe dancer interacts with floating artificial-organic constructions. Biological being meets alien architecture . They communicate in a choreographic level with inner space distortions and extreme speed variations. This interaction creates unrealistic mystical atmosphere. Sound design emphasize the inner dynamics, distortion and the size of the object´s mass. (Merci à AV-arkki)

Link de Nelly-Eve Rajotte (Québec, 2009) 2’
Un passage, une traverse, une ligne et un plan fixe. C’est autour de la thématique de la linéarité et du temps que cette vidéo s’inscrit. L’espace sonore, véhiculé par la ligne, se construit en traversant l’image.

At the museum de Susanne Wiegner (Allemagne, 2012) 3’
« at the museum » is a surprising game with the relationship between an artwork and the imaginations of the viewer.

Zindan de Shaarbek Amankul (Kirghizstan, 2007) 6’20
Zindan a été tourné dans une usine abandonnée et montre une étrange performance chorégraphiée de deux corps féminins qui pénètrent les murs pour imaginer une nouvelle vie après une troisième guerre mondiale.

Combo de Max Philipp Schmid (Suisse,1995) 7’
«Faire de la musique par le montage vidéo doit être un travail de moine. Le résultat dans ce cas est loin d’être monastique. Acrobaties vocales, un travail héroïque de guitare, un slam dancer fou de flamenco, des femmes ensemble dans une tranche lisse incroyable de musique pop. »
«Making music by editing video must be a monk’s work. The result in this case is anything but monastic. Vocal acrobatics, heroic guitar work and a tiny, crazy flamenco slamdancer are woven together into an unbelievable slick slice of pop music.»

五行:《火》(Wu Xing : huo) de Jac Min (Singapour, 2011) 3’36
«La naissance n’est pas un commencement, la mort n’est pas une fin. L’existence n’a pas des limitations, il y a une continuité sans un point de départ. « 五行: « 火 » est un film de danse qui tente de capturer la beauté dans la destruction et la violence dans la création.
“Birth is not a beginning, death is not an end. There is existence without limitation; there
is continuity without a starting point.”
Fire is a symbol of change and birth; of life and yet death, but through death, rebirth.
五行:《火》is a dance film that attempts to capture the beauty in destruction and the violence in creation.

Displacement de Liliana Resnick (Croatie, 2012) 7’20
Une femme vit la soudaine prise de conscience que le temps n’est pas linéaire, mais que le passé, le présent et l’avenir tournent en spirale dedans elle simultanément
A woman experiences the sudden realization that time is not linear, but that the past, present and future spiral within her simultaneously.

Traces of Places de Roddy Simpson (Ecosse, 2011) 10’
Regardé comme à travers une fenêtre sur le temps, un danseur se déplace à travers les traces mnésiques des endroits où habitent et hantent sa présence. Guidé par ses souvenirs kinesthésiques et le déplacement entre «ici et maintenant» et «là-bas et puis», ses histoires énoncés se déroulent, rembobinent, rétrogradent et s’entremêlent.
‘When you can move through a house blindfolded it belongs to you … as if you were a blueprint of your house’ (Michael Oondatje 1989)
Watched as if through a window on time, a dancer moves through the mnemonic traces of places which inhabit and haunt her presence. Guided by her kinaesthetic memories and shifting between ‘here and now’ and ‘there and then’, her embodied stories unfold, rewind, retrograde and interweave.

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20
  • 2013-02-20 - 2013-02-20
  • 17:00 - 18:30
  • Entrée libre
  • Institut français du Japon - Tokyo, Espace images
    〒 162-8415
    15 Ichigaya-funagawara-machi, Shinjuku-ku Tokyo

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