Tandem Paris-Tokyo 2018

8 février 2018

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Paris et Tokyo lancent un Tandem culturel pour faire découvrir aux Parisien•ne•s et aux Tokyoïtes, une programmation culturelle croisée, entre tradition et modernité, de février à novembre 2018.

Avec le « Tandem Paris-Tokyo 2018 » mis en œuvre par la Ville de Paris, le Gouvernement métropolitain de Tokyo et l’Institut français, en partenariat avec l’ambassade de France au Japon, les Parisiens pourront découvrir la scène culturelle de Tokyo à Paris dès le mois de février. À l’automne, les Tokyoïtes pourront découvrir des artistes parisiens et leurs créations.

Ce tandem croisé qui a pour thème : « Comment la modernité réinvente la tradition ? » offrira outre une création artistique sous toutes ses formes, une mise en valeur des traditions et du patrimoine des deux villes. Il s’inscrit par ailleurs dans les célébrations autour des 160 ans de relations diplomatiques entre la France et le Japon.

 

Pour en savoir plus

 

 

 

« Mon idée pour le français » : donnez votre avis

29 janvier 2018

 

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Afin de recueillir des idées et propositions destinées à soutenir la promotion et l’apprentissage de la langue française dans le monde, Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, et Françoise Nyssen, ministre de la Culture lancent, le 26 janvier 2018, la plateforme de consultation citoyenne internationale « mon idée pour le français ».

L’organisation de cette consultation citoyenne a été confiée par le Président de la République à l‘Institut français, opérateur du ministère des Affaires étrangères.

Les objectifs

  • mobiliser les acteurs de la présence française à l’international
  • recueillir des propositions concrètes pour moderniser l’usage du français et promouvoir le plurilinguisme.

Faites entendre votre voix jusqu’au 20 mars 2018

La plateforme « mon idée pour le français » s’adresse tant aux citoyens français qu’aux étrangers francophones et/ ou francophiles. Les contributions peuvent être déposées en ligne jusqu’au 20 mars, journée internationale de la Francophonie.

Au-delà du recueil de propositions, la plateforme vise à promouvoir la richesse de la communauté francophone internationale et mettre en lumière l’enjeu et le potentiel de la langue française et du plurilinguisme.

Les prochaines étapes

Cette consultation sera poursuivie au cours d’une conférence internationale pour la langue française et le plurilinguisme dans le monde organisée les 14 et 15 février qui réunira à Paris des personnalités et acteurs de la société civile et des jeunes citoyens de différentes nationalités engagés localement dans des démarches innovantes.

La synthèse des propositions déposées en ligne et des discussions tenues dans le cadre de la conférence permettra d’orienter et de consolider un plan d’ensemble pour le français et le plurilinguisme dans le monde que le président de la République souhaite voir adopter en 2018.

 

 

 

L’imagination au pouvoir : la Nuit des idées 2018
Lancement au Quai d’Orsay

4 janvier 2018

 

La troisième Nuit des idées aura lieu le 25 janvier 2018 autour du thème « l’imagination au pouvoir ». Elle réunira des intervenants de tous horizons – intellectuels, chercheurs, artistes – invités à débattre dans les lieux partenaires de la manifestation, sur les cinq continents.

Chaque année, la Nuit des idées est une invitation à découvrir l’actualité des savoirs, à écouter celles et ceux qui font avancer les idées dans tous les domaines, à échanger sur les grands enjeux de notre temps, à célébrer la circulation des idées entre les pays et les cultures, les disciplines et les générations.

 

Le 25 janvier 2018, la troisième Nuit des idées aura pour thème « l’imagination au pouvoir », une formule dont les manifestants couvraient les murs de Paris en 1968.

50 ans plus tard, quelles formes prend l’aspiration à l’utopie ? Quel sens trouve cet appel à être créatifs, de la technologie à l’économie, de la science à l’urbanisme ? Les œuvres d’imagination nous aident-elles à mieux comprendre le monde d’aujourd’hui ?

Dans 100 villes de 70 pays, dans les lieux les plus prestigieux comme les plus inattendus, le temps d’une nuit, des conférences, performances, projections, concerts, proposeront leur interprétation originale de ce thème.

Lancement de la Nuit des idées au Quai d’Orsay le 25 janvier 2018

Le Quai d’Orsay donnera le coup d’envoi de la troisième édition de la Nuit des idées à l’occasion d’un évènement de lancement ouvert au public le 25 janvier 2018.

Le ministère accueillera l’écrivaine nigériane Chimamanda Ngozi Adichie qui reviendra sur son œuvre et ses engagements, notamment en faveur de l’égalité femmes / hommes et sur la place des pays africains dans la mondialisation.

Le public sera ensuite convié à une déambulation au sein de l’Hôtel du ministre.

Chimamanda Ngozi Adichie :
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Née le 15 septembre 1977 à Enugu, Chimamanda Ngozi Adichie est l’auteure de plusieurs romans et recueils de nouvelles ayant reçu de nombreux prix, parmi lesquels « Hibiscus pourpre », »Autour de ton cou » et « Americanah ». 
Elle dénonce dans ses œuvres les violences de l’histoire, les tensions ethniques et religieuses du Nigéria contemporain et abordent la question raciale et les problématiques liées à l’immigration aux États-Unis. L’auteure porte un discours offensif sur la place des pays africains dans la globalisation. Son intervention très remarquée lors d’une conférence Ted Talk en décembre 2012, intitulée « We should all be feminists » a par ailleurs largement contribué à sa notoriété.

Retrouver la programmation de la Nuit des idées dans le monde entier

NUIT DES IDÉES 2018 à KYOTO L’IMAGINATION AU POUVOIR OU « LE RÉEL POUR UTOPIE »

 

 

 

Centre Pompidou Metz : Une Saison Japonaise

15 novembre 2017

 

De septembre 2017 à mai 2018, le Centre Pompidou organise trois expositions et une dizaine de concerts et spectacles qui posent un nouveau regard sur le Japon, de l’histoire moderne de son architecture à ses expressions artistiques les plus contemporaines.

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Tandis que la mondialisation lisse les frontières géographiques et culturelles, l’archipel nippon a conservé une écriture singulière, une identité artistique.

Une première manifestation intitulée Japan-ness. Architecture et urbanisme au Japon depuis 1945 (du 9 septembre 2017 au 8 janvier 2018) explore sept décennies de culture architecturale, de 1945 à nos jours, au cœur du bâtiment emblématique de Shigeru Ban.

À travers le concept de Japan-ness (japonité) l’architecte Arata Isozaki a tenté de saisir les caractères proprement japonais qui relient les créations de ce pays. C’est cette singularité, tantôt ouverte et poreuse aux influences extérieures, tantôt recluse en elle-même, souvent frappée par l’Histoire et par la Nature (conflits, crises, séismes, catastrophe nucléaire…) et ainsi toujours contrainte de se redéfinir, que le Centre Pompidou-Metz met ici en lumière. Cette première exposition interroge : comment la ville japonaise, et son urbanisme tentaculaire depuis la reconstruction de l’Après-guerre, a-t-elle défini de nouveaux modes d’habitation ? Avec quels modèles et dans quel contexte social, politique, culturel, émergent ses plus importants architectes – Kenzo Tange, Tadao Ando, Toyo Ito, Kengo Kuma ?

Une seconde exposition, Japanorama. Nouveau regard sur la création contemporaine (du 17 octobre 2017 au 5 mars 2018), porte un regard sur quatre décennies de création contemporaine et d’affirmation d’une culture visuelle (art, mode, photographie, manga…). Cette exploration révèle un Japon multiple, qui ne se limite pas au cliché de l’opposition entre minimalisme zen et déferlante Kawaï-Pop. L’art contemporain au Japon, c’est aussi une poétique de la résistance, un engagement militant, une réflexion commune avec la mode sur le rapport au corps et le post-humanisme, ou bien sur la place de l’individu dans la société, la notion de communauté, la relation à une tradition insulaire et le dialogue avec les cultures populaires et underground.

Une troisième exposition spectaculaire (du 20 janvier 2018 au 14 mai 2018) est consacrée au collectif Dumb Type, pionnier des nouvelles technologies mises au service de l’art. Mêlant spectacle vivant et installation multimédia, Dumb Type dénonce une société superficielle saturée d’informations, noyée dans la consommation et soumise aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Cette diversité s’exprime aussi avec les 10 Evenings, une riche programmation d’événements conviant quelques grandes figures de la scène japonaise (danse, musique, théâtre, performance…) tout au long de la saison, avec des spectacles parfois présentés en France pour la première fois.

Durant cette saison, c’est tout le Centre Pompidou Metz qui vit à l’heure japonaise proposant aussi des ateliers jeunes publics sur le Japon ou transformant la Capsule en Game Center !

 

 

 

Exposition universelle 2025
Dépôt du dossier de candidature de la France

2 octobre 2017

 

Déclaration de Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères (28 septembre 2017)
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Je salue le travail accompli par Pascal Lamy, président du groupement d’intérêt public EXPOFRANCE 2025, Jean-Christophe Fromantin, président du comité EXPOFRANCE 2025, Anne Hidalgo, maire de Paris, Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, et Patrick Ollier, président de la Métropole du Grand Paris, ainsi que par l’ensemble des élus et des acteurs impliqués, pour élaborer le dossier de la candidature de Paris à l’accueil de l’exposition universelle en 2025. Ce dossier a été remis le 28 septembre au Bureau international des expositions.

Le ministère de l’Europe et des affaires étrangères a accompagné cette candidature depuis ses débuts. J’ai demandé au réseau diplomatique de continuer à se mobiliser pour promouvoir ce projet jusqu’au vote qui déterminera la ville hôte en novembre 2018.

Le thème retenu, « La connaissance à partager, la planète à protéger », fait écho aux priorités de notre action internationale au service de la défense de la planète, alors que 2025 coïncidera avec le dixième anniversaire de l’accord de Paris sur le climat.

Nous avons des arguments forts et des atouts indéniables pour remporter cette compétition et accueillir cet événement majeur, qui rehaussera encore l’attractivité de notre pays un an après avoir accueilli les Jeux olympiques. L’objectif est de recevoir 40 millions de touristes pour visiter cette exposition.

 

 

 

L’exposition « Mémoire et Lumière, photographie japonaise, 1950-2000 »

20 juillet 2017

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L’exposition « Mémoire et Lumière, photographie japonaise, 1950-2000 » se tient à la Maison Européenne de la Photographie jusqu’au 27 août.

 

Dès le début des années 1990, la société d’impression japonaise Dai Nippon Printing Co., Ltd constitue pour la Maison Européenne de la Photographie une importante collection représentative de la photographie japonaise de la deuxième moitié du XXe siècle. L’exposition propose une large sélection de chacun des 21 photographes de la donation, riche aujourd’hui de 540 pièces.

Du 28 juin au 27 août 2017.
Pour en savoir plus : Maison Européenne de la Photographie

 

 

 

 

Forte présence du cinéma japonais à l’occasion de la 70e édition du Festival de Cannes

16 mai 2017

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Le cinéma japonais sera représenté par ses plus prestigieux cinéastes à l’occasion de la 70e édition du Festival International du Film de Cannes qui aura lieu du 18 au 27 mai 2017.

 

La cinéaste Naomi Kawase, habituée de la croisette, présentera en sélection officielle son dernier film, Vers la Lumière, coproduit avec la France.

Le cinéaste Kiyoshi Kurosawa présentera le film, Avant que nous disparaissions, dans la section Un certain regard. C’est la quatrième qu’il est sélectionné dans cette section avec Kairo en 2001, Tokyo Sonata en 2008, qui a obtenu le Prix du jury et Vers l’Autre Rive en 2015, Prix de la mise en scène.

La surprise vient de la jeune cinéaste Atsuko Hirayanagi, qui présentera son premier long métrage, Oh Lucy !, à la semaine de la critique.

Enfin dans le cadre de son programme Cannes Classics, le festival de Cannes va présenter seize films de 1946 à 1992 qui ont marqué l’histoire du festival parmi lesquels deux films de grands maîtres du cinéma japonais :

  • L’Empire des Sens de Nagisa Oshima, présenté au Festival de Cannes 1976, lors de la Quinzaine des réalisateurs.
  • La Ballade de Narayama de Shohei Imamura, Palme d’or en 1983

Site officiel du Festival de Cannes

 

 

 

Tokyo-Paris, Chefs-d’œuvre du Bridgestone Museum of Art, la Collection Ishibashi Foundation au Musée de l’Orangerie

26 avril 2017

À l’occasion des travaux du musée Bridgestone à Tokyo et en attendant la livraison de nouveaux bâtiments, les Musées d’Orsay et de l’Orangerie co-organisent avec la Ishibashi Foundation l’exposition intitulée « Chefs-d’œuvre du Bridgestone Museum of Art de Tokyo, Collection Ishibashi Foundation » jusqu’au 21 août 2017.

Les chefs-d’œuvre de la collection du musée Bridgestone sont issus du goût pour l’art de trois générations de la dynastie industrielle des Ishibashi. En effet, le fondateur de l’entreprise Bridgestone, Shojiro Ishibashi (1889-1976), se singularise très tôt par sa passion pour les arts et notamment pour les arts occidentaux qu’il commence à collectionner dès la fin des années 1930. Il fait édifier un musée pour sa collection au cœur de Tokyo en 1952. Celui-ci propose au public des œuvres de la période impressionniste ainsi que des œuvres d’art moderne occidentales et japonaises. La collection a ensuite continué d’être enrichie par les nouvelles générations. La fondation Ishibashi conserve aujourd’hui plus de 2600 œuvres.

Le parcours met notamment à l’honneur les œuvres de l’impressionnisme jusqu’à l’abstraction occidentale et orientale d’après-guerre, de Monet, Renoir et Caillebotte à Cézanne, Matisse, Picasso, Pollock et Shiraga.

L’un des pivots de l’exposition est aussi le lien permanent établi entre les œuvres, leurs acquéreurs et l’histoire du Japon moderne afin de donner aux visiteurs de nombreux éléments de contexte. Enfin, cette exposition trouve également sa place au musée de l’Orangerie à travers un jeu de miroir où la passion privée pour l’art a su se transformer en collection ouverte à tous les publics.

 

Dates : du 5 avril au 21 août 2017
Lieu : Musée de l’Orangerie, Paris
Pour plus d’informations : Musée de l’Orangerie

 

L’animation française au Tokyo Anime Award Festival 2017

1er mars 2017

Tokyo Anime Award Festival 2017

L’animation française sera cette année encore très représentée au Tokyo Anime Award Festival 2017, rendez-vous cinématographique majeur pour les amoureux du film d’animation au Japon, qui se déroulera du 10 au 13 mars à Ikebukuro (Tokyo)

Une douzaine de films d’animation français en compétition officielle

 

Section longs-métrages : Trois films français sélectionnés sur quatre
  • « Ma vie de courgette », de Claude Barras (Suisse-France)
    César du meilleur film d’animation 2017
  • « Avril et le Monde Truqué », de Christian Desmares et Franck Ekinci (France-Belgique-Canada).
  • « La Jeune Fille sans Mains », de Sébastien Laudenbach (France)
Section courts-métrages : Huit films français sélectionnés sur trente-quatre
  • « D’Ombres et d’Ailes », de Elice Meng, Eleonora Marinoni (France-Suisse)
  • « L’Horizon de Bene », de Jumi Yoon et Eloïc Gimenez (France)
  • « La Parfumerie de Monsieur Pompone », de Axel de Lafforest, Camille Ferrari, Florian Ratte, Yoann Demettre, Tanguy Weyland (France)
  • « Peripheria », de David Coquard Dassault (France)
  • « Screen Romance », de Emma Decoster, Mélanie Merny, Eglantine Vittu, Tiphaine Cordiez (France)
  • « Preston », de Gabriel Amar, Louis Doucerain, Joseph Heu, William Marcere, Térence Tieu, Morgane Vaast (France)
  • « Un Plan d’Enfer », d’ Alain Gagnol, Jean-Loup Felicioli (France-Belgique)
  • « Yul et le Serpent », Gabriel Harel (France)

Pour plus d’informations sur le festival : Tokyo Anime Award Festival

 

L’Institut français du Japon partenaire du Tokyo Anime Award Festival

À l’occasion du Tokyo Anime Award Festival, l’Institut français du Japon – Tokyo propose le 8 mars prochain une carte blanche à l’école des Gobelins, sans doute l’une des écoles d’animation les plus connues dans le monde pour l’excellence de son enseignement.

Pour en savoir plus : Institut français du Japon-Tokyo

Chiharu Shiota au Bon Marché

(10 janvier 2017)

Le Bon Marché Rive Gauche présente une exposition monumentale de Chiharu Shiota jusqu’au 18 février.
Une installation en fils tissés baptisée « Where Are We Going ? » qui reproduit une vague géante au rez-de-chaussée du grand magasin, survolée par 150 bateaux suspendus ça et là sous les verrières centrales.

En savoir plus

Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique

(10 janvier 2017)

Isabelle Huppert, marraine du French Film Festival au Japon en 2016, a reçu dimanche le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique pour son rôle d’une femme violée dans « Elle » de Paul Verhoeven, sacré meilleur film en langue étrangère.

10e édition du Japan International Manga Award

(4 janvier 2017)

2016-japaninternationalmangaawardLes auteurs de la BD « Le maître d’armes » (Joël Parnotte et Xavier Dorison), lauréats du prix international du manga remis par le gouvernement japonais, à l’occasion de la 10e édition du « Japan International Manga Award ».

Voir aussi
Japan International Manga Award

La France au  Sapporo Snow Festival (Festival de la neige de Sapporo)

(21 décembre 2016)

Maquette de l’Arc de Triomphe pour l’espace français HBC

A l’occasion de la 68e édition du Sapporo Snow Festival  qui se tiendra du 6 au 12 février 2017, HBC Hokkaido Broadcasting présentera sur la Odori 7chome, un espace français avec comme monument phare, une sculpture de neige représentant l’Arc de Triomphe.

 

Voir aussi

Communiqué de presse (en japonais)

Site officiel du Sapporo Snow festival (en anglais)

Pour balayer les idées reçues sur la France

(21 décembre 2016)

Business France, l’agence nationale au service de l’internationalisation de l’économie française, a produit un nouveau film sur les idées reçues sur la France.

En un peu plus de deux minutes, les clichés associés à la France sont confrontés à des chiffres concrets et contredits de façon positive et humoristique. Réalisée en anglais et en français, la vidéo est également sous-titrée en japonais.

Pourquoi investir en France ? Les faits sont là : la France accueille plus de 1 000 investissements étrangers tous les ans, et décroche la pole position en Europe pour les projets de production. Étonnant ? Pas tant que cela, pour qui sait tirer parti des talents de notre pays et de notre système de crédit d’impôt recherche… mais aussi de nos infrastructures, de notre mix énergétique et de notre excellent positionnement géographique, au cœur de la zone euro et d’un marché de 500 millions de consommateurs.

Oubliez les clichés et laissez-vous convaincre en un clic que la France n’est pas peut-être celle que vous imaginez.

Ouverture de « Lascaux 4 »

(15 décembre 2016)

Alors que se tient jusqu’au 19 février l’exposition “Lascaux: The Cave Paintings of the Ice Age” au Musée national des Sciences et de la Nature de Tokyo, le Centre International de l’Art Pariétal Montignac-Lascaux, Lascaux 4, a ouvert ses portes le 15 décembre en France.

Dessiné par l’agence norvégienne Snøhetta, le centre accueille le fac-similé intégral de la grotte et de ses peintures. Grâce à l’utilisation des nouvelles technologies de l’image et du virtuel, il permettra aux visiteurs de découvrir l’incroyable richesse de ces œuvres qui ont marqué les débuts de l’histoire de l’art et de l’humanité.

 

Voir aussi :

Cinéma – Festival de Cannes 2016

 

Le festival international du film de Cannes, dont le ministère des affaires étrangères et du développement international est un partenaire historique, ouvre le 11 mai.

Cet événement majeur, tant du point artistique que pour l’économie du secteur cinématographique, est un formidable outil de promotion et d’attractivité de la France.

André Vallini, secrétaire d’État chargé du développement et de la Francophonie, se rendra à Cannes le 13 mai 2016 pour valoriser nos actions en faveur de la diversité cinématographique et de la Francophonie. Il rencontrera notamment des cinéastes du programme « La Fabrique des Cinémas du monde », conçu par l’Institut français pour accompagner l’émergence de jeunes talents des pays du Sud et parrainé cette année par le réalisateur chinois Jia Zhang-ke.

Avec le fonds d’aide aux cinémas du monde, le ministère des affaires étrangères et du développement international et le centre national du cinéma et de l’image animée soutiennent par ailleurs des coproductions avec des pays partenaires et contribuent à promouvoir la diversité culturelle. En 2016, douze films soutenus par ce dispositif figurent dans la sélection du festival, dont cinq en compétition officielle.

Le réseau diplomatique et culturel est également mobilisé pour valoriser le festival et le savoir-faire de l’industrie cinématographique française. Différentes manifestations sont organisées, par exemple à Bucarest, Buenos Aires ou Cuba.

Voir aussi :

 

La promotion internationale du livre français

 

Le livre est la première industrie culturelle française avec près de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaire par an. C’est aussi un secteur très tourné vers l’international : il constitue le deuxième poste d’exportation de la France dans le domaine des biens culturels, alors que 25% du chiffre d’affaires des éditeurs français se réalise sur les marchés étrangers.

Aux côtés des professionnels du secteur et des partenaires institutionnels comme le Bureau international de l’édition française (BIEF) et la Centrale de l’édition, les ministères de la Culture et de la Communication et des Affaires étrangères et du Développement international et leurs opérateurs – le Centre national du livre (CNL) et l’Institut français (IF) – sont très mobilisés en faveur de la promotion du livre et de la pensée français à l’international. Ce sont ainsi plus de 31 millions d’euros de fonds publics qui y sont consacrés chaque année.

Le ministère des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI) accompagne notamment chaque année les interventions des acteurs du secteur éditorial sur les marchés internationaux. Il s’appuie sur un dispositif d’actions et de programmes géré à Paris par l’Institut français pour l’action culturelle extérieure, et sur plus de 30 bureaux du livre et des médiathèques dans le réseau culturel qui mettent en œuvre localement une politique de soutien à l’édition française, de partenariat et de coopération avec les structures locales.

Le MAEDI accompagne la présence éditoriale française dans les foires et salons du livre à l’étranger, en étroite collaboration avec le Bureau international de l’Édition française. L’ambition est d’encourager et de promouvoir les idées, œuvres, auteurs et éditeurs français et francophones afin de maintenir le dynamisme de l’édition française à l’export dans un contexte de forte concurrence culturelle.

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Le soutien du MAEDI s’exprime à travers les différents projets mis en œuvre par l’Institut français :

  • Le livre via la traduction : aides à la traduction et à la diffusion des productions éditoriales françaises ; formation de nouvelles générations de traducteurs du français vers des langues prescriptrices (anglais, arabe, chinois, espagnol, portugais, russe) ; mise en place d’un centre de ressources en ligne concernant les ouvrages traduits vers les langues étrangères.
  • La valorisation du débat d’idées : élaboration d’une nouvelle diplomatie d’influence ; mise en place de débats d’idées ; diffusion et circulation des nouvelles scènes intellectuelles françaises (notamment dans le domaine des sciences humaines et sociales) auprès de réseaux universitaires à l’étranger.
  • La promotion de la culture scientifique : mise en place d’expositions itinérantes prestigieuses pour promouvoir la culture scientifique française (archéologie et sciences dures) ; création d’un centre d’expertise et de ressources en ligne ; accompagnement d’opérations réalisées par le réseau français d’ambassades et de consulats.
  • Le soutien aux circuits éditoriaux francophones : mise en place de programmes d’aide à l’édition au Sud (à la cession et à la distribution) ; constitution et valorisation de fonds d’ouvrages édités au Sud sur les marchés du Nord et du Sud ; refonte du centre de ressources concernant auteurs, éditeurs et grandes manifestations intellectuelles du Sud francophone.
  • L’accompagnement du réseau culturel et de coopération français, des médiathèques et la formation des agents : création de bureaux du livre et des médiathèques qui mettent en œuvre les programmes et actions de soutien au livre français ; développement du numérique dans les médiathèques à travers la plateformeCulturethèque ; ou de la plateforme IFVerso (base de données de plus de 70 000 titres traduits du français vers une quarantaine de langues se présentant comme un réseau social).

 

 

 

Remise du 32ème Prix Shibusawa-Claudel à la Résidence de l’Ambassadeur du Japon en France, le 6 octobre 2015


Le 6 octobre 2015, dans les salons de la Résidence de l’Ambassadeur du Japon en France, a été célébrée la 32ème édition du Prix Shibusawa-Claudel. Ce prix, organisé depuis 2008 par le quotidien Yomiuri Shimbun et la Maison franco-japonaise de Tokyo, a été créé en 1984. Il permet de distinguer des jeunes chercheurs au Japon et en France pour l’accomplissement d’un ouvrage de recherche scientifique ou pour une traduction dans l’une ou l’autre langue.

Devant de nombreuses invitées, M. Yoshihiro HIGUCHI, Ministre de l’Ambassade du Japon en France, M. Keiichi HONMA, Chef de Bureau du Journal Yomiuri à Paris, M. le Ministre Christian SAUTTER, Président du Jury de sélection, et M. Koichiro MATSUURA, Président de la Maison franco-japonaise de Tokyo venu tout spécialement du Japon, ont tour à tour tenu à féliciter le lauréat, M. Franck MICHELIN (Maître de Conférences à l’Université Meiji) pour sa thèse de doctorat « L’Indochine française et l’expansion vers le sud du Japon à l’orée de la guerre du Pacifique : politique étrangère et processus de décision, 29 juin 1940 – 8 décembre 1941 ».

M. Franck MICHELIN, le lauréat du prix avec sa thèse de doctorat
M. Koichiro MATSUURA, Président de la Maison franco-japonaise de Tokyo,
décernant le prix à M. Franck MICHELIN
M. le Ministre Christian SAUTTER, Président du Jury de sélection,
félicitant le lauréat M. Franck MICHELIN

Source : Ambassade du Japon en France

Où en est l’animation française ?

L’industrie de l’animation française est actuellement en pleine ascension. Elle représente 10 % de la production audiovisuelle de l’Hexagone en heures produites, et compte pour 33 % de ses exportations. Les piliers de sa dynamique actuelle sont constitués d’un solide réseau de formations, d’une capacité de financement public ainsi que de festivals internationaux.

 

Hall du centre Bonlieu à Annecy pendant le Festival du film d’animation©Nicolu/flickr

Essentiellement représentée par la télévision, l’animation en France occupe 7,3 % de la grille des chaînes historiques (France 5, France 3, TF1, etc.). Les productions françaises dominent (40,8 %), suivies des américaines (30,6 %). Le coût moyen d’un programme d’animation s’élève à 593 250 euros de l’heure (chiffres 2011).

 

Chers à produire, les films d’animation représentent 2,6 % des films français réalisés entre 1998 et 2008. Les productions américaines restent majoritaires en termes d’entrées, attirant en moyenne 2 millions de spectateurs par film contre 509 000 pour les productions françaises. Ils correspondent principalement à trois catégories : 1) adaptations de livre ou de bande dessinée ; 2) adaptations de série télévisée ; 3) créations originales. Cependant, rares sont les réalisateurs comme Michel Ocelot (Kirikou) ou Sylvain Chomet (les Triplettes de Belleville) à s’atteler directement au long métrage sans passer au préalable par la production d’une série.

 

Ernest et Célestine d’Alain Patar, Stéphane Aubier et Benjamin Renner©DR

En tête des sociétés françaises de cinéma d’animation, on trouve les studios Les Armateurs (la série Kirikou, les Triplettes de Belleville, Ernest et Célestine…), les films d’Europacorp (la série Arthur et les Minimoys) ou encore Futurikon et Xilam. Outre la création de nombreuses licences originales, leur atout réside dans l’exploitation de licences issues de la bande dessinée – particulièrement de la bande dessinée franco-belge (les Aventures de Tintin, Babar, Corto Maltese et Léonard (Ellipsanime) ; Boule et Bill, Valérian et Laureline et Garfield & Cie (Dargaud Media) ; Spirou, Flash Gordon, Jojo, Cédric, Papyrus et Kid Paddle (Dupuis audiovisuel).

 

D’autres studios émergents se frayent un chemin vers le cinéma d’animation à partir des effets spéciaux numériques. Parmi eux, se trouvent les principales sociétés d’effets spéciaux qui travaillent pour le cinéma traditionnel, s’inscrivant elles aussi dans la tendance actuelle à l’escalade technologique (entre autres avec la 3D) : Buf Company et MacGuff acheté par Universal (Moi, Moche et Méchant I et II, et le Lorax). En marge, d’autres sociétés pénètrent le secteur via le jeu vidéo, comme Ankama Animation ou Ubisoft, avec des séries ou des longs métrages animés tirés de leurs licences vidéo (respectivement Dofus et les Lapins Crétins).

 

Un réseau de formation soutenu par des écoles de qualité reconnues internationalement (Gobelins, La Poudrière, George Méliès, etc.), une capacité de financement public grâce au crédit d’impôts accordés par le CNC, ainsi que les festivals internationaux (Festival international du film d’animation d’Annecy, Festival d’Angoulême) constituent en outre les clés de la dynamique actuelle de l’animation française.

(source : INA)

 

Plus d’informations sur le site inaglobal.fr

Foire internationale d’art contemporain à Paris – FIAC 2013

24–27 octobre
Grand Palais & hors les murs

 

Rester attentif aux évolutions et aux enjeux de la création contemporaine ; s’interroger devant les transformations des métiers de l’exposition et des galeries ainsi que sur les pratiques artistiques elles-mêmes ; mener des actions prospectives ; être créatif et réactif tout en assurant un esprit de continuité dans la conception de l’événement : tels sont les fondements de la quarantième édition de la FIAC.

Du 24 au 27 octobre, la FIAC 2013 a rassemblé au Grand Palais 184 galeries venues de 25 pays.

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Composition abstraite, Serge Poliakoff-Courtesy Galerie Applicat-Prazan, Paris © Art Digital Studio – Adagp, Paris,2013

 

La France a été représentée par 55 galeries, puis ont suivi les États-Unis avec 33 galeries, l’Allemagne avec 22 galeries, l’Italie avec 13 galeries, le Royaume-Uni avec 12 galeries, la Belgique avec 11galeries, la Suisse et le Brésil avec 5 galeries chacun. Les pays nouvellement représentés cette année sont le Canada, l’Irlande et la République Tchèque. 36 galeries participent pour la première fois ou sont de retour à la FIAC.

 

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Contre-Dépouille, Etienne Chambaud-Courtesy Galerie BUGADA & CARGNEL, Paris

Autre facteur définissant l’identité de la FIAC : cette année encore, la manifestation a bénéficié d’une programmation culturelle hors les murs.

La 40e édition de la FIAC a aussi été l’occasion de découvrir des créations artistiques exceptionnelles à Paris et en régions.

 

En outre, la FIAC a développé des synergies avec les acteurs de la vie culturelle par des initiatives telles que le « Parcours privé » ou la « Nocturne des galeries parisiennes », le jeudi 24 octobre, afin de valoriser la scène artistique française à l’international.

 

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Portrait robot de France, Arman, 1963 – Courtesy galerie Natalie Seroussi, Paris © ADAGP, Paris 2013

 

 

 

 

Premier bilan de Marseille-Provence capitale européenne de la culture

Depuis 1985, chaque année, une ville de l’Union européenne est choisie pour incarner la culture. En 2013, c’est au tour de Marseille-Provence d’endosser le titre de Capitale culturelle ; une occasion de mettre à l’honneur la Méditerranée grâce à une programmation de plus de 500 événements et 100 expositions incluant de nombreux artistes du monde arabe tout au long de l’année. Retour sur les premiers épisodes de ces nombreuses manifestations qui ont déjà rassemblé plus de 2 millions de visiteurs.

Marseille Provence accueille le monde

©Gandini

Ouverte en fanfare les 12 et 13 janvier avec un week-end réunissant plus de 600 000 personnes sur l’ensemble du territoire, d’Arles à La Ciotat, en passant par Aix et Marseille, l’année culturelle a débuté par l’inauguration de nouveaux lieux artistiques : la Tour-Panorama et le J1, portée par deux expositions : Méditerranées, projet vidéo retraçant les œuvres présentes au sein de 11 périodes historiques, et Ici, ailleurs, focus sur une quarantaine d’artistes contemporains issus du pourtour méditerranéen. La Capitale européenne de la culture a connu ensuite un premier temps fort en février. Cirque en capitales ou Cirque en corps ont donné carte blanche aux artistes des arts du cirque pour investir la cité dans les rues, les théâtres ou les chapiteaux.

 

 

Marseille Provence à ciel ouvert

GR®2013©Luce Moreau

Le territoire et la question de l’art dans l’espace public sont au cœur du projet culturel de Marseille Provence. Pour appréhender le territoire millénaire des Bouches-du-Rhône, la programmation propose des parcours thématiques comme le GR®2013, une randonnée conçue par un collectif d’artistes-marcheurs le long d’un sentier métropolitain entre garrigue, réserves naturelles et autoroutes.

 

TransHumance©Philippe Praliaud

Invitation à traverser des sites naturels d’exception, le projet TransHumance qui a ouvert le 2e épisode « Marseille à ciel ouvert » a lancé en juin une aventure équestre durant laquelle hommes, chevaux et troupeaux de bêtes ont convergé dans les rues de Marseille avant de rejoindre les plages, après un parcours dans les plus beaux paysages des Alpilles et de la Provence.

 

 

 

 

Marseille, grand atelier du Midi

Mucem©Lisa Ricciotti

En parallèle de ces projets artistiques en extérieur, l’inauguration du musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) – œuvre de Rudy Ricciotti et premier musée national en région – par le Président de la République le 4 juin, est venue couronner ce 2e temps fort de la capitale culturelle. Portant l’utopie d’une Méditerranée en paix et unie dans le dialogue, le musée propose une approche des cultures méditerranéennes à travers l’ethnologie, les religions et l’histoire récente.

Ouverture de l’expositon Le Grand Atelier du Midi© Sam Mertens

Le Midi, source infinie d’imagination pour les peintres, peut également être parcouru grâce à l’exposition d’envergure le Grand atelier du Midi , de juin à octobre, qui réunit près de 200 chefs-d’œuvre d’artistes inspirés par la lumière de Provence pour élaborer des formes nouvelles, dans le sillage de Van Gogh et Cézanne.

 

Jusqu’à la fin de l’année, Marseille-Provence verra de nombreuses autres manifestations, notamment un projet visant à faire dialoguer art et cuisine, réunissant penseurs, artistes et chefs-cuisiniers en septembre : Cuisines en friche. Mais aussi une exposition consacrée à l’architecte Le Corbusier, l’événement littéraire Histoires vraies de la Méditerranée, ou Act Oral, autour des arts vivants et de la dramaturgie arabe.

 

 

 

Un guide de questions-réponses concernant l’enseignement supérieur des arts plastiques en France édité par le ministère de la Culture et de la Communication français est désormais à la disposition des étudiants étrangers.

Téléchargez la version anglaise : « Art school in France, 28 questions and answers » au format pdf

 

 

 

 

 

 

Téléchargez la version française : « L’enseignement supérieur des arts plastiques en France, 35 questions-réponses »au format pdf

 

 

 

 

 

 

Les galeries d’art contemporain investissent en banlieue parisienne

Les galeries d’art franchissent le boulevard périphérique parisien pour s’installer dans des lieux insolites de la banlieue parisienne revisités par les plus célèbres architectes.

 

©Courtesy Gagosian Gallery/Thomas Lannes

Les galeries d’art contemporain en vue élisent l’une après l’autre domicile en banlieue. Le célèbre marchand d’art américain propriétaire de plus de douze galeries à travers le monde, Larry Gagosian, a lancé la tendance en confiant à l’architecte Jean Nouvel la rénovation de 1650m² d’usine en Seine-Saint-Denis. L’adresse, située à l’intérieur même de l’aéroport du Bourget, est désormais le rendez-vous incontournable de collectionneurs fortunés venus admirer les œuvres d’artistes de renommée mondiale, tels que le peintre Anselm Kieffer.

©Courtesy Gagosian Gallery/Thomas Lannes

Récemment, c’est au tour de l’Autrichien Thaddaeus Ropac de s’émanciper du Marais pour prendre ses quartiers à Pantin dans une usine désaffectée du XIXe siècle. L’espace permet d’accueillir des œuvres à grande échelle et réserve une partie de sa surface aux performances et à la danse.

À Boulogne Billancourt, un énorme complexe artistique baptisé R4 verra le jour sur la pointe de l’île Seguin en 2015. Toujours sous l’impulsion architecturale de Jean Nouvel, le pôle courant sur 8000 m² abritera une halle d’exposition, une vingtaine de galeries d’art, un amphithéâtre et trois salles des ventes. De quoi donner une nouvelle bouffée d’espace à la création contemporaine et surfer sur le renouveau du marché de l’art à Paris.

 

外 (soto) / Dehors

Performances vidéo

L’ISBA – Institut supérieur des Beaux-Arts de Besançon/Franche-Comté – présente en partenariat avec l’association franco-japonaise de Gunma 6 performances vidéo d’artistes japonais dans ses sous-sols, du 2 au 11 avril 2013. Cette exposition sera suivie d’une tournée à Besançon et dans d’autres villes françaises du 3 au 15 avril.

 

Pour plus d’informations, consultez le dossier de presse

Voir le site de l’association franco-japonaise de Gunma

Charlotte Perriand et le Japon

Exposition et Colloque

La Maison de la culture du Japon à Paris et le Musée d’Art Moderne de Saint-Etienne Métropole co-organisent un colloque à l’occasion de l’exposition « Charlotte Perriand et le Japon » (23 février-26 mai) présentée dans le cadre de la Biennale Internationale de Design de Saint-Etienne 2013.

Le symposium revient sur l’apport de la culture japonaise dans le travail de cette créatrice d’avant-garde des années 1940, qui a à son tour fortement influencé le monde du design japonais.

 

Dates : le 27 mars à Saint-Etienne ; le 29 mars à la MCJP à Paris

Pour plus d’informations, consultez les liens suivants :

Les plus belles expositions 2013 s’affichent à Paris

Les plus belles expositions 2013 s'affichent à ParisEntre grandes rétrospectives et larges thématiques, les musées parisiens se maintiennent au plus haut niveau en 2013. Marc Chagall, Georges Braque, Marie Laurencin ou encore la féerie des Contes des Mille et Une Nuits sont les temps forts d’une saison foisonnante.

Défiant toutes les restrictions budgétaires, le programme des grandes expositions 2013 s’annonce particulièrement dense et varié. Que l’on soit passionné d’art ancien, moderne ou contemporain, de peinture, de sculpture ou de photo, voici un tour d’horizon de quelques expositions à ne pas manquer.

Villes-Mondes, la nouvelle série de documentaires radiophoniques de France Culture

Les deux prochaines émissions seront consacrées à la ville de Tokyo et à ses créateurs, les dimanches 3 et 10 mars à 15h sur l’antenne de France Culture.

Après une première escale le 3 mars, la deuxième partie du documentaire sur l’antenne de France Culture sera diffusée lors d’un Week end Spécial dédié au Japon les 9 et 10 mars.