A ses proches, à ses amis, Raul Ruiz disait qu’il s’inspirait de contes d’Hernan del Solar, ou bien encore, aux plus rusés, qu’il parlait de son enfance. Toutes ses fausses pistes n’avaient qu’un but : semer des leurres, égarer ses proches, ne pas les inquiéter, ne pas les attrister.
Institut français Tokyo - Espace images